Ce matin dans le train, 6h27 a.m., deux hommes de la cinquantaine discutent ensemble, tout en regardant le journal 20minutes (journal gratuit distribué partout en Suisse au contenu souvent très insuffisant, mais assez pour que tout le monde se sente tout d'un coup fier de lire le journal le matin). Soudain, un des deux hommes, se mets soudain en colère et lève le ton et il dit la phrase suivante: ''Mais c'est pas possible!!! Ils ont encore changé l'horaire télé de Top Modèle! Il est passé de 18h00 à 18h15 c'est un scandale!'' et les deux hommes frustrés par cette nouvelle se mettent à discuter de ce qui va arriver à Redj, Tiffany, et je ne sais qui... Va-t-elle le laisser? Va-t-il retrouver ses enfants?...
... le monde va mal!
28 avril 2010
25 avril 2010
Pissenlit... être? ou ne pas être?
Je suis assise dans mon jardin et je me fais toutes sortes de réflexion. Est-ce le début de la crise de la trentaine qui sonne à la porte? Ou est-ce que c'est parce que je me fais attaquer par les pétales du magnolia?
Toujours est-il que, qu'est-ce qu'on a à vouloir s'acharner sur nos pauvres petits pissenlits? J'en regarde un et je me dis que c'est beau un pissenlit et lorsqu'il est en graine, il est encore plus beau. Pourquoi voulons-nous absolument les éliminer de notre jardin? Quel est ce sentiment qui nous pousse à vouloir absolument contrôler la verdure de notre jardin? Il faut que ça soit vert, sans mauvaises herbes et surtout pas de jaune! J'aimerai bien savoir d'où vient ces idées, ces gestes, ces empreintes léguées par je ne sais pas qui, qui nous poussent à les éliminer, on ne se pose même plus la question du pourquoi du comment, on a vu nos parents faire ça, qui ont vu leurs parents, etc. et pis on fait pareil. En fait, je pense qu'on en veut aux pissenlits d'être si beaux, capables de se transformer si rapidement et d'être si robustes, car effectivement, ils se reproduisent facilement. C'est quand même extraordinaire de pouvoir assurer la survie de son espèce si facilement, non? La nature est quand même bien faite, pourquoi toujours intervenir? Alors, moi je vous le dis ''j'aime les pissenlits'', et pis, le jardin de mon voisin peut avoir autant de pissenlits qu'il veut, je peux vous dire qu'il n'est pas moins ni plus vert que le miens.
Alors, laissez-les être pissenlits et manger leurs feuilles avant la floraison, c'est très bon!
Et pis, regardez de près ces jolies graines que j'ai mise en images pour vous. C'est tu pas beau ça?
;)
Toujours est-il que, qu'est-ce qu'on a à vouloir s'acharner sur nos pauvres petits pissenlits? J'en regarde un et je me dis que c'est beau un pissenlit et lorsqu'il est en graine, il est encore plus beau. Pourquoi voulons-nous absolument les éliminer de notre jardin? Quel est ce sentiment qui nous pousse à vouloir absolument contrôler la verdure de notre jardin? Il faut que ça soit vert, sans mauvaises herbes et surtout pas de jaune! J'aimerai bien savoir d'où vient ces idées, ces gestes, ces empreintes léguées par je ne sais pas qui, qui nous poussent à les éliminer, on ne se pose même plus la question du pourquoi du comment, on a vu nos parents faire ça, qui ont vu leurs parents, etc. et pis on fait pareil. En fait, je pense qu'on en veut aux pissenlits d'être si beaux, capables de se transformer si rapidement et d'être si robustes, car effectivement, ils se reproduisent facilement. C'est quand même extraordinaire de pouvoir assurer la survie de son espèce si facilement, non? La nature est quand même bien faite, pourquoi toujours intervenir? Alors, moi je vous le dis ''j'aime les pissenlits'', et pis, le jardin de mon voisin peut avoir autant de pissenlits qu'il veut, je peux vous dire qu'il n'est pas moins ni plus vert que le miens.
Alors, laissez-les être pissenlits et manger leurs feuilles avant la floraison, c'est très bon!
Et pis, regardez de près ces jolies graines que j'ai mise en images pour vous. C'est tu pas beau ça?
;)
19 avril 2010
Malte etlaM
Malte jolie petite île dans la Méditerranée. Une histoire riche où pratiquement tous les pays qui entourent la mer ont pris part à peupler cette terre calcaire! Je ne vais pas ici vous raconter son histoire, car je risque de me mêler les pinceaux avec les dates, les romains, les arabes, les français, les siciliens, etc.
Non, je vais vous parler du côté obscur de Malte, celui dont on ne parle que très peu dans les livres, mais qui est haut combien important pour tout voyageur qui a envi de se rendre sur cette île!... La conduite à gauche!!!
Alors pour pouvoir bien profitez amplement de ce vestige laissé par les Britanniques, je vous suggère, premièrement, de prendre un hôtel loin de l'aéroport là où l'agglomération de la ville est la plus dense. Sinon, ce n'est pas drôle! Prendre une carte avec le moins possible de noms de rues inscrits, de toutes façons vous en n'aurez pas besoin, car il y a très peu de noms de rues visiblement affichés! Ayez un ou une copilote aguerri et armez vous de patience (surtout envers votre copilote). Ouvrez les yeux et les bons... car ici à Malte les panneaux de circulation sont soient absents, soient mis après les sorties ou juste juste avant, question de vous faire faire un petit détour et de visiter le prochain rond point, on pourrait croire qu'ils ont été installés par une société secrète et qu'il y a une caméra cachée à chaque rond point! Ils filment tous les touristes fâchés qui au lieu de mettre leur clignotant à droite, mettent les essuie-glaces!
Afin d'agrémenter votre périple, les Maltais se feront un plaisir de vous klaxonner si vous n'allez pas assez vite ou si vous êtes soudain dans un ''wrong way'', c'est probablement en guise de sympathie qu'ils sont si rapides sur le ''criyard''. Je les soupçonne aussi d'être daltoniens, car certains nous coupaient la route sur un feu rouge alors que nous avions un feu vert... ou avons-nous tout simplement manqué une étape dans nos cours de conduite? Faut savoir se remettre en question. :)
De plus, les trous et nids de poule parsèment les routes (probablement de mèche avec la société secrète). D'ailleurs quand vous louez la voiture, la première chose écrite en caractères gras c'est que tous les garages peuvent réparer les crevaisons et ce partout sur l'île! Ouf! Enfin quelque chose qui rassure! Aussi, attention aux piétons qui traversent n'importe où, surtout dans les contours, c'est d'autant plus drôle, quand il y a une panne d'électricité sur toute l'île, car on ne les voit plus!
Bref, la conduite à Malte c'est comme un jeu vidéo, change les vitesses à droite, tourne à gauche, attention au trou, sens unique, rond point à gauche, bip bip, pout pout, vroum vroum, stooooooooopppppppppppp... Game Over!
Bon après 2-3 jours et après s'être perdu autant de fois que l'on a regardé la carte, on finit par s'habituer et à presque conduire à la Maltaise. Mais bon rien à faire, on sera toujours des touristes, difficile de passer inaperçu avec le gros stickers ''Europcar'' collé dans la vitre arrière!
Non, je vais vous parler du côté obscur de Malte, celui dont on ne parle que très peu dans les livres, mais qui est haut combien important pour tout voyageur qui a envi de se rendre sur cette île!... La conduite à gauche!!!
Alors pour pouvoir bien profitez amplement de ce vestige laissé par les Britanniques, je vous suggère, premièrement, de prendre un hôtel loin de l'aéroport là où l'agglomération de la ville est la plus dense. Sinon, ce n'est pas drôle! Prendre une carte avec le moins possible de noms de rues inscrits, de toutes façons vous en n'aurez pas besoin, car il y a très peu de noms de rues visiblement affichés! Ayez un ou une copilote aguerri et armez vous de patience (surtout envers votre copilote). Ouvrez les yeux et les bons... car ici à Malte les panneaux de circulation sont soient absents, soient mis après les sorties ou juste juste avant, question de vous faire faire un petit détour et de visiter le prochain rond point, on pourrait croire qu'ils ont été installés par une société secrète et qu'il y a une caméra cachée à chaque rond point! Ils filment tous les touristes fâchés qui au lieu de mettre leur clignotant à droite, mettent les essuie-glaces!
Afin d'agrémenter votre périple, les Maltais se feront un plaisir de vous klaxonner si vous n'allez pas assez vite ou si vous êtes soudain dans un ''wrong way'', c'est probablement en guise de sympathie qu'ils sont si rapides sur le ''criyard''. Je les soupçonne aussi d'être daltoniens, car certains nous coupaient la route sur un feu rouge alors que nous avions un feu vert... ou avons-nous tout simplement manqué une étape dans nos cours de conduite? Faut savoir se remettre en question. :)
De plus, les trous et nids de poule parsèment les routes (probablement de mèche avec la société secrète). D'ailleurs quand vous louez la voiture, la première chose écrite en caractères gras c'est que tous les garages peuvent réparer les crevaisons et ce partout sur l'île! Ouf! Enfin quelque chose qui rassure! Aussi, attention aux piétons qui traversent n'importe où, surtout dans les contours, c'est d'autant plus drôle, quand il y a une panne d'électricité sur toute l'île, car on ne les voit plus!
Bref, la conduite à Malte c'est comme un jeu vidéo, change les vitesses à droite, tourne à gauche, attention au trou, sens unique, rond point à gauche, bip bip, pout pout, vroum vroum, stooooooooopppppppppppp... Game Over!
Bon après 2-3 jours et après s'être perdu autant de fois que l'on a regardé la carte, on finit par s'habituer et à presque conduire à la Maltaise. Mais bon rien à faire, on sera toujours des touristes, difficile de passer inaperçu avec le gros stickers ''Europcar'' collé dans la vitre arrière!
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